Wednesday, March 27, 2013

LES VICTIMES OUBLIEES DES ENQUETES DE LA CPI



Vers 2 heures du matin, le 7 Mars 2011, plus de 60 combattants pro-Ouattara ont attaqué le village d'Anonkoua-Kouté, situé juste à l'extérieur de leur forteresse militaire d'Abidjan à Abobo. Anonkoua est un village de personnes principalement Ebrié, qui soutiennent largement le President Gbagbo. La veille, il y avait eu des combats dans la région entre les forces armées des deux côtés. Les victimes de l' attaque du 7 Mars et un combattant pro- Ouattara ont déclaré à Human Rights Watch que les forces pro-Ouattara croyaient que les armes avaient été laissées dans le village. Toutefois, les assaillants semblent avoir tué des civils au hasard et ont brûlé une grande partie du village.
Human Rights Watch a interrogé quatre victimes d'Anonkoua-Kouté et a confirmé la mort de neuf civils, dont deux femmes qui ont été brûlées vives. L'une des victimes a raconté à Human Rights Watch:
Je pouvais entendre des tirs nourris de mitrailleuses, et les gens du village ont commencé a crier. Je suis sorti pour voir ce qui se passait, et je suis tombé sur quelqu'un qui m'a attrapé et a demandé un mot de passe. Je ne le savais pas, alors il a pointé son fusil à canon scié sur moi à partir de deux mètres et a tiré. J'ai balancé mon bras droit au niveau du pistolet quand il tirait . Je suis tombé à terre, et suis reste là, comme si j'étais mort, respirant à peine. Je les ai vus massacrer le village alors que j'étais couché là-bas.
Les rebelles étaient habillés tout en noir. Certains d'entre eux portaient des cagoules, d'autres avaient des bandanas. Ils tapaient aux portes des gens et ne cessaient de répéter: «Nous sommes ici pour la guerre, nous ne sommes pas ici pour jouer», et ont demandé où les gens cachaient les armes.
Dans une maison proche de la mienne, une femme a refusé d'ouvrir la porte. Ils ont jeté des bouteilles  allumées qui avaient été trempées dans le gaz, et la maison était en flammes. La femme est sortie en courant,  hurlant au feu. Elle est morte plus tard ce jour-là. J'ai regardé quand ils ont pris un autre de mes voisins et lui ont tiré dessus à bout portant. Tout était barbare. Un autre témoin a décrit que les assaillants ont égorgé son  père de 72 ans. Au moins 15 maisons ont été incendiées, et tout le village est maintenant abandonné.
«Commettre des atrocités contre des civils ne doit pas etre un  moyen pour Ouattara de prendre le pouvoir», a conclu Daniel Bekele. «Alassane Ouattara devrait immédiatement demander une enquête sur ces actes déplorables de violence et  demander des comptes à ceux qui les ont ordonnés et menés."

Tuesday, March 26, 2013


The "international community", led by France, openly supported Alassane Ouattara at the expense of his opponent Laurent Gbagbo. This is undeniable. It should be mentioned that this blind support has been of all kinds: financial, diplomatic, military, but especially the media.

The guilty silence of the Western media

Monday, March 25, 2013

PRESIDENT OUATTARA IS INCOMPETENT


ABIDJAN ( IVORYCOAST ): In a few weeks, President Alassane Ouattara will officially blow its second birthday as the President of Ivory Coast. Fraudulently elected in November 2010, it was finally in April 11, 2011 that he was able to take full possession of state power after a bloody standoff with President Laurent Gbagbo who also claimed victory after the constitutional counsel proclaimed him as the winner. Since then nearly two years, Alassane Ouattara is in command of the country, but some social commitments and promises he made during the presidential campaign are slow to materialize. As far as the employment and the  fight against poverty are concerned, Ouattara regime gives the feeling of back-pedaling. In any case,   as time passes, and as we approach the next presidential election, the future, rather than provide answers to the concerns of people of IvoryCoast, mired in poverty, is outrageously obscure. Not really sure of anything, but based on the numerous complaints and other complaints that are heard everywhere now, we can say today that the majority of the Ivorian population is won by a sense of disappointment or disillusionment witnessing the difficulties experienced by the regime to alter the curve of the poverty in this country. In other words, people feel that Allassane Ouattara, who the international community had placed an almost blind trust, is not as competent as he proclaims. Ouattara is facing the music between the slogans of the presidential campaign and the reality of being a leader. In two years of power, Ouattara's inner circle can be compared to scorpions in a desert because of their corruption and the lack of impunity. All this adds to the disenchantment that began to rise for some time between the President and the people of IvoryCoast. A population whose shoulders are struggling to bear increasingly, the burden of unemployment, cost of living and especially the growing poverty. The recent increase in the price of fuel, gas, electricity ... without any accompanying measure and the total absence of reform of the labor market, are understanding, alas, signs that the end of the tunnel is imperceptible. Busy as he is, without doubt to please the international community rather than look more closely, to degrading living conditions of its citizens.

Source: Ivorian Consumer Group

Friday, March 15, 2013

MALCOLM X

‎"Les médias sont l'entité la plus puissante sur terre. Ils ont le pouvoir de rendre l'innocent coupable et le coupable innocent et c'est le pouvoir. Ils contrôlent l'esprit des populations"
Malcom X

Wednesday, March 13, 2013

UN REGIME, ASSASSIN DES LIBERTES

Un régime, assassin des libertésQue reste-t-il encore des libertés des Ivoiriens depuis l’avènement du régime Ouattara ? Plus grande chose ! 
En si peu de temps, les libertés acquises de longue date et au terme d’éprouvantes luttes par l'ex-president Laurent Gbagbo, sont anéanties. Depuis le 11 avril 2011, date du parfait coup d’Etat de Sarkozy contre Laurent Gbagbo, les Ivoiriens pleurent pour leurs libertés. Alassane Ouattara qui a été installé par les bombes de l’armée française fait reculer les droits et libertés chaque jour. Le multipartisme obtenu de haute lutte est en train de laisser la place au parti unique. Les partis dans l’opposition ne peuvent pas se réunir. Les dozos et Frci ont verrouillé tout le territoire. Aucune réunion d’un parti de l’opposition digne de nom ne peut se tenir dans la sérénité.
A Abidjan comme à l’intérieur du pays, le pays est mis sous vibreur. Les Ivoiriens ne parlent plus. Personne n’est assez courageux pour donner de la voix pour animer un meeting politique. Tous les meetings politiques de l’opposition sont systématiquement interdits ou sauvagement réprimées. 
Le siège de la fédération Fpi de Yopougon est occupé. Le Qg de campagne de Laurent Gbagbo à Yopougon héberge les Frci. Le village de la liberté, patrimoine du Front populaire ivoirien situé à Yopougon-nouveau quartier, est devenu un camp militaire sans avoir la politesse de demander l’avis des propriétaires. 
Des sièges de Conseils généraux continuent d’être occupés par les milices du régime actuel. C’est le cas à Adzopé où les Frci sont basées au conseil général. 
A Abidjan, en pleine capitale économique, les dozos font du porte à porte pour faire payer de l’argent aux habitants du quartier Banco 2 à Yopougon. Le motif est que ces chasseurs traditionnels assurent leur sécurité. Celui qui refuse de payer n’aura pas la paix dans le quartier. Et comme ces chasseurs traditionnels sont au service d’Alassane Ouattara, les populations payent ce qu’on leur impose.
Un simple regroupement de deux voire 5 militants de l’opposition est vite assimilé à une préparation de coup d’Etat contre Alassane Dramane Ouattara. Et sans une autre forme de contrôle, les Frci passent à l’attaque et tuent. 
 Quand un leader politique fait une tournée pour parler à ses militants, il est kidnappé sur la route pour être envoyé en prison. Laurent Akoun est une victime. Alphonse Douati croupit encore à la Maca sans être entendu par un juge d’instruction. 
 Acheter un journal de l’opposition et le garder sur soi après lecture c’est s’exposer souvent à la persécution. Débattre des questions politiques ou critiquer le pouvoir en place dans la ville ou dans un véhicule de transport en commun comme cela se faisait avant avec les régimes précédents n’est plus possible. La censure, la répression règnent en permanence depuis l’installation de Ouattara par la France. 
Toutes les libertés sont sous surveillance comme on le voit dans les vieilles tyrannies.
Benjamin Kore

Wednesday, March 6, 2013

L'HYPOCRISIE DE LA FRANCE


"De graves violations des droits humains", des centres de detention et de tortures secrets, des exactions de groupes paramilitaires armés par l'etat, des crimes de guerre impunis. tous ces hauts faits a l'actif de partisans de dramane ouattara, decrits dans un rapport d'amnesty internatioanl paru le 27fevrier 2013, n'ont pas suscité la moindre reaction de la france.
il ya deux ans , pourtant, paris avait pésé de tout son poids pour soutenir l'arrivée au pouvoir de dramane ouattara. durant dix jours(en avril 2011), les forces du dispositif tricolore licorne,  assistées par l'onu avaient bombardé la résidence présidentielle de laurent gbagbo, farouchement accroché au pouvoir apres la proclamation de sa défaite électorale, cinq mois plus tôt.


Aujourd'hui , gbagbo est traduit devant la cour penale internationale(cpi) de la Haye,accusé d'avoir d'avoir ordonné ou laisé commettre quatre massacres ayant causé la mort de 200 personnes. la france de Sarkozy puis de hollande,qui a contribué a l’enquête du procureur de la cpi, n'a, en revanche, pas levé le petit doigt pour que soient poursuivis les crimes du camp d'en face.


Au total, les violences postelectorales ont causé la mort de plus de 3000 personnes.
depuis plus de dix huit mois,les forces armées regulieres controlent le pays.Et le rapport d'amnesty cite de nombreux cas d'exactions a leur passif, comme l'attaque , en juillet de 2012,du camp de nahibly,dans l'ouest du pays,qui "s'inscrit dans le contexte de crimes contre l'humanité". des dizaines de refugiés y ont eté liquidés a la machette,par balles,ou brulés vifs.
les milices dozos(confrerie de chasseurs de la region), auteurs de ces mefaits,avaient deja, un an plus tot, tué plus de 200 personnes ,coupables d'appartenirà une ethnie jugée
proche de gbagbo.
le document mentionne aussi plusieurs prisons secretes dans les quelles l'armée a sequestré et torturé des opposants ou supposés tels. comme ce cahot de 4 metres sur 5, a korhogo,dans le nord, ou des prisonniers se sont retrouvés a 27 durant quarante neuf jours, sans toilettes et presque sans nourriture.
j
informé-a tout le moins- de ces pratiques,le regime de dramane ouattara n'a jamais reagi,malgré les déclarations solennelles du président. d'ailleurs,precise amnesty, a sa connaissance,"pas un seul responsable civil ou militaire de violations et atteintes tres graves aux droits humains ayant soutenu ouattara n'a eu a répondre de ses actes devant la justice." même pas martin fofié,chef de guerre désigné par la cpi comme responsable de graves "violations de droits humains" et du "recrutement d’enfants soldats".


Apathie identique de la france au récit des exploits accomplis par les partisans de son protégé. certaines victimes possèdent pourtant un passeport tricolore,comme l’économiste ibrahim massaga,detenu depuis un an a abidjan,au mepris de tous ses droits,ou michel gbagbo,fils de l'ex president et de sa première épouse française.
ce scientifique sans activité politique est emprisonné depuis avril 2011.
peu apres le rapport Amnesty,la justice française a designé un magistrat pour faire la lumière sur le traitement qu'il subit depuis deux ans.
Hélas pour le prévenu,son delit de patronyme est irrefutable...

HYPOCRISY OF FRANCE


ABIDJAN ( IVORYCOAST ): HYPOCRISY OF FRANCE

"Serious violations of human rights,  detention centers where political prisoners are tortured, atrocities by paramilitary groups armed by Ouattara regime, war crimes unpunished. All these crimes perpetrated by active supporters and forces of Allassane Ouattara , described in a report published by Amnesty International on February 27,  2013, have not generated any reaction by the colonial power of France.

Two years ago, however, Paris had thrown its military support behind the rise to power of Allassane Ouattara against the former IvoryCoast Leader Laurent Gbagbo. From November 2010 to  April 2011, french troops, assisted by the UN, bombed the presidential residence of Laurent Gbagbo, who has refused to accept the fraud-tainted  presidential elections of November 2010.

Today, Gbagbo is brought before the International Criminal Court (ICC) in The Hague, accused of having indirectly ordered  massacres that killed 200 people, according to France. The France of Sarkozy then Holland, which has contributed to the prosecutor's investigation of the ICC against former president Laurent Gbagbo, has, however, not lifted a finger on crimes committed by president Ouattara forces and militias.

For more than eighteen months now,  forces loyal to Allassane Ouattara are in charge of the security in IvoryCoast.  Amnesty International report cites numerous cases of abuse to their liabilities, such as the attack in July 2012, of a Camp for displaced  in the west of the country, which is  "in the context of crimes against humanity." Dozens of refugees were liquidated with machetes, shot, or burned alive by President Allassane Ouattara's forces and militias.

The authors of these misdeeds, had already a year earlier, killed more than 200 people, guilty of belonging to former President Gbagbo's ethnic group.

The Amnesty report also mentions several secret prisons in which President Ouattara's army sequestered and tortured political opponents. Amnesty described a bump 4 of 5 meters, in the town of korhogo in the north, where political prisoners found themselves at 27 for forty nine days without toilets and almost without food.

Informed, at the very least, of these crimes, the regime of Alassane Ouattara has never reacted., despite the solemn declarations of the President. Moreover, precise amnesty, to its knowledge, "not a single civilian or military official accused of very serious violations and abuses of human rights that supported President Ouattara has not had to answer for his actions in court." Not even Fofié Martin, warlord cited by the ICC as responsible for serious "human rights violations" and "recruitment of child soldiers."

CANARD ENCHAINE ( FRENCH NEWS AGENCY ):

Serious violations of human rights, detention centers where political prisoners are tortured, atrocities by paramilitary groups, crimes unpunished. All these crimes perpetrated by active supporters and forces of Alassane Ouattara, have not generated any reaction by the colonial power of France.
Three years ago, however, France had thrown its military support behind the rise to power of Alassane Ouattara against the former IvoryCoast leader Laurent Gbagbo. From November 2010 to April 2011, French troops, assisted by UN, bombed the presidential palace of Laurent Gbagbo, who has refused to accept the fraud-tainted presidential elections of November 2010.
Today, Gbagbo is brought before the international Criminal Court (ICC) in the Hague, accused of having indirectly ordered massacres that killed 200 people, according to France. The France of Sarkozy then Hollande, which has contributed to the prosecutor's investigation of the ICC against former President Laurent Gbagbo, has, however, not lifted a finger on crimes committed by Ouattara's forces and militias.
Many human rights reports cite numerous cases of abuse to their liabilities, such as the attack in July 2012, of a Camp for displaced in the West of the country. Hundreds of refugees were liquidated with machetes, shot, or burned alive by Ouattara's forces and tribal militias.The authors of these misdeeds, had already a year earlier, killed more than 800 civilians who belong to former President Gbagbo's ethnic group in the town of Duekoue.
Informed, at the very least, of these crimes, Paris has never reacted. Moreover to my knowledge, not a single civilian or military official accused of very serious violations and abuses of human rights that supported President Ouattara has not had to answer for his actions in court.
Alassane Ouattara, who advertised his close relationships with former French President Nicolas Sarkozy, and that of his French citizen wife with Hillary Clinton, is out of touch. The devilish international media is at his orders.