Wednesday, January 28, 2015

Missing Children

(Bloomberg) -- Ivory Coast has raised the alarm over a wave of child murders that may be connected to presidential elections later this year. At least 25 children were kidnapped and murdered last year in what appear to be ritual killings, Sandrine Kraidy, director of child protection at the Family, Women and Children Ministry, said in a phone interview on Thursday. Most victims were between age 5 and 10, and all were found with severed limbs or heads, or missing organs, she said.


“We’ve noticed an increase in missing children as we’re heading toward the election,” Kraidy said. Some people in Ivory Coast think that human body parts can be used to create wealth or political influence, she said. “We thought perhaps that it was something that was disappearing, but ritual crimes are still occurring. It’s worrying.”
Ivory Coast’s presidential election is scheduled in October. President Alassane Ouattara has said he will seek a second term in office.

Saturday, January 24, 2015

Proces des Innocents/Trial of the Innocents

Abidjan- Accusations faibles, enquêtes poussives, témoins hésitants : les premières semaines du procès des exactions commises lors de la crise post-électorale de 2010-2011 en Côte d’Ivoire, dont l’ex-Première dame Simone Gbagbo est la tête d’affiche, se déroulent dans l’"improvisation", critique la défense.
Surnommée la "Dame de fer", Simone Gbagbo, 65 ans, est jugée depuis le 26 décembre devant les assises d’Abidjan aux côtés de 82 co-accusés pour "atteinte à la sûreté de l’Etat".
Ils doivent répondre de leur rôle présumé dans ces violences qui firent 3.000 morts et s’achevèrent par l’arrestation du couple présidentiel.
Aucune personnalité n’a pour l’instant été entendue, que ce soit Simone Gbagbo, Pascal Affi N’Guessan, l’ancien Premier ministre et actuel président du principal parti d’opposition ou Michel Gbagbo, fils de Laurent, l’ancien
chef de l’Etat.
En attendant, les auditions des seconds rôles attestent d’une grande impréparation, voire d’une véritable pagaille.
"On a l’impression que c’est une justice précipitée, qu’on veut juger rapidement des gens pour passer à autre chose. Alors qu’ils sont en train de jouer leur vie !", s’alarme Me André Blédé Dohora, membre d’un collectif défendant les accusés.
Quelques minutes plus tôt, c’est à la surprise générale que quatre accusés, dits pro-Ouattara, avaient été présentés à la cour. En effet, ce procès, fondamental pour la Côte d’Ivoire, est présenté par tous, autorités incluses,
comme celui des pro-Laurent Gbagbo, dont le refus de reconnaître la victoire en 2010 de l’actuel chef de l’Etat Alassane Ouattara provoqua cinq mois de violences en Côte d’Ivoire. Plus de 3.000 personnes y perdirent la vie dans des exactions commises par les deux camps.
"Nous ne pouvons pas défendre des gens dont les paroles sont contradictoires", s’étrangle Me Blédé Dohora, dénonçant "la mauvaise organisation des assises". "Si les dossiers venaient à temps, on aurait décelé parmi les accusés ceux qui n’étaient pas des pro-Gbagbo", critique-t-il.
"La cour est saisie des faits et non des personnes. On ne cherche pas a savoir si celui-ci est pro-Gbagbo ou celui-là pro-Ouattara", rétorque un magistrat, qui dénonce quant à lui toute idée d’"improvisation".
- Témoins hésitants -

Les auditions de témoins clé, primordiaux pour l’accusation, donnent pourtant l’impression d’une justice poussive. Leurs invraisemblables propos sont retransmis par des micros crachotants, dont le comique macabre fait
parfois pouffer de rire le public, comme lors de ces échanges:
"- (Juge) : Etes-vous sûr que l’accusé ici présent était-là quand on a tué votre mari ?
- (Témoin) : Je ne sais pas. Mais son nom était cité dans toutes les exactions."
ou encore :
"- (Juge) : Avez-vous vu les accusés ?
- (Témoin) : Non. Mais on m’a dit que ce sont les chefs des milices."
Accusés ou simples témoins, les rôles peuvent vriller d’un moment à l’autre: ainsi, jeudi, une victime, gendarme de son état, a accusé un témoin policier d’avoir fait piller et incendier son domicile, où quatre personnes
ont été tuées en avril 2011.
La veille, on avait attendu, en vain, l’arrivée de trois témoins.
"On ne peut pas dire que l’enquête ait été mal faite. Mais les témoins présents ne sont pas les meilleurs pour la procédure", reconnaît, conciliant, Drissa Traoré, de la Fédération internationale des droits de l’Homme (FIDH).
Nombre de dossiers souffrent en outre d’une fragilité évidente, relève-t-il. Tels ce coiffeur, cet agent de sécurité et ce réparateur de téléphone, accusés avec un quatrième homme, d’avoir "fomenté des attaques qu’ils n’ont pas commises" à San Pedro (ouest).
Aucun d’eux n’avait d’arme, aucun d’eux n’a été violent, a-t-on appris durant l’audience. "Ces personnes n’ont rien à faire ici. On ne peut pas juger des gens aux assises pour des faits aussi faibles", s’indigne Me Rodrigue Dadjé pour la défense.
"Pour l’instant, on voit beaucoup d’actes isolés, commis par des lampistes.
On ne voit pas le lien direct entre les faits reprochés à ces personnes et les chefs d’accusation", remarque Drissa Traoré.
"En Afrique, on parle d’’atteinte à la sécurité de l’Etat quand on veut se débarrasser de quelqu’un", observe par ailleurs un expert africain des droits de l’Homme, qui critique, comme toute la société civile, la "justice des
vainqueurs" en vogue en Côte d’Ivoire, où aucun dignitaire pro-Ouattara n’est pour l’instant inquiété.

Weak charges, winded investigations and reluctant witnesses: the first weeks of the trial of the 82 political prisoners, in which former First Lady Simone Gbagbo is the headliner, take place in the "improvisation".

 Hearings reveal considerable lack of preparation, or even a real mess.
"We have the impression that this is a hasty justice which wants to quickly judge people to move on.", warns André Blédé Dohora, member of a group defending the political prisoners.

Auditions of the key witnesses central to the prosecution, give the impression of a sluggish justice. The macabre comedy of the government witnesses, makes sometimes the audience giggle, as in this exchange:
"- (Judge): Are you sure that this accused was there when your husband was killed?
- (Witness): I do not know. But his name was mentioned in all acts of violence. "
or:
"- (Judge): Have you seen the accused?
- (Another Witness): No .But I was told that he was the militia leader. "

 On Thursday, an alleged victim, policeman by profession, has accused another policeman who is a prosecution witness, of having looted and burned his home, where four people were killed in April 2011. The day before, The Prosecutor waited in vain for the arrival of three witnesses.
"We can not say that the investigation was poorly done. But these witnesses are not the best for the procedure," admits, conciliatory, Drissa Traoré, the International Federation of Human Rights (FIDH).

"In Africa, regimes accused political opponents of -breach of security of the state- when they want to get rid of them. None of them had weapons, none of them was violent, as we learned during the hearing.These people have nothing to do here" also observes an African expert on human rights, who is critical, as any civil society of one-sided justice in vogue in Ivory Coast, where no pro-Ouattara dignitary has being accused.

Monday, January 19, 2015

Coran

- «Oh les croyants ! Ne prenez pas pour alliés les Juifs et les Chrétiens ; ils sont alliés les uns des autres. Et celui d’entre vous qui les prend pour alliés, devient un des leurs. Allah ne guide certes pas les gens injustes», (Sourate V, verset 51).

-Cela nous rappelle un hadith du  prophète Mohamed(S&BSL) qui a dit : «La peur que mes ennemis ont de moi, m’a accordé la victoire».

-«Oh Allah, Maitre de l’autorité absolue. Tu donnes l’autorité à qui Tu veux, et Tu arraches l’autorité à qui Tu veux ; et Tu donnes la puissance à qui Tu veux, et Tu humilies qui Tu veux. Le bien est en Ta main et Tu es Omnipotent» (Coran, Sourate III, verset 26).

- «Ceux qui ont pris des protecteurs en dehors d’Allah ressemblent à l’araignée qui s’est donnée maison. Or la maison la plus fragile est celle de l’araignée. Si seulement ils savaient !» (Coran, Sourate 29, verset 41).

Mahouloud-«Nulle bête marchant sur terre, nul oiseau volant de ses ailes, qui ne soit comme vous en communauté. Nous n’avons rien omis d’écrire dans le Livre. Puis, c’est vers leur Seigneur qu’ils seront ramenés» (Coran, sourate VI, verset 38). Mais il n’y a aucun doute sur la tolérance de l’Islam car Dieu dit : «Nulle contrainte en religion ! Car le bon chemin s’est distingué de l’égarement. Donc, quiconque mécroit au Rebelle tandis qu’il croit en Allah saisit l’anse la plus solide, qui ne peut se briser. Et Allah est Audient et Omniscient» (Coran, sourate II, verset 256). Dieu dit encore dans le Saint Coran ; «Si ton Seigneur l’avait voulu, tous ceux qui sont sur la terre auraient cru. Est-ce à toi de contraindre les gens à devenir croyants ?» (Coran, soute X, verset 99).

Tuesday, January 13, 2015

Africa is not Charlie






Many people of Ivory Coast do not like the international uproar that the assassinations of Charlie-Hebdo generate, when so many men, women and children have been victims of a similar terrorism in  Ivory Coast on September 19, 2002, when heavily armed terrorists trained in Burkina Faso and backed by France in favor of Alassane Ouattara - the current President of Ivory Coast - attacked the legitimate government of President Laurent Gbagbo, killing hundreds of civilians and soldiers. They have claimed that "France" was responsible for so much evil in Africa, mainly in Ivory Coast, that we should not feel sorry for a handful of French murdered. " France called us ( Young Patriots) government-funded militias any time we gathered not only to defend the sovereignty of Ivory Coast but also to say no to terrorism" Konan Benjamin a former college student in Bouaké remembered; '' now they are marching together against terrorism as we did 12 years ago'' he added.

 None of these voices are ignored because they echo some of the conversations in the city, in villages or on social networks.
"We regret that some reactions are not the same when these events occur in our countries in Africa" said Faure Gnassingbe, President of Togo ; "if we blame Westerners not to be with us when there are rebellions, here is precisely the opportunity to come with them to understand that it is the same evil even if it takes different forms whether in Africa, the Middle East or Europe. it is the same evil, "he added, echoing the anger of many Africans.





« Nous sommes scandalisés d’apprendre qu'en France aussi, on est ensemble; cette meme France  nous refusait la liberté  de manifester dans notre, sous pretexte qu'on etait des milices 

Sunday, January 11, 2015


helengr30@yahoo.com; marcelleguize@yahoo.com; melaniebahienon@gmail.com; mikegbomene@yahoo.com; mlzouzoua@comcast.net; julesarmand@yahoo.com;  ritabreka@yahoo.com; lucienneobou@yahoo.com; sebastienzahui@hotmail.com;  ayemone@yahoo.com; chrlszh@yahoo.com;  estofic@msn.com; flokadio@yahoo.com; gabowahi@aol.com;  perpetue.digbeu@gmail.com; zclaude@comcast.net; yoyoskf@yahoo.com; compoh1@hotmail.com; tbailly@hotmail.com; christelle0503@hotmail.com; esaie_g@hotmail.com;  francettephal@live.com; zabaloumg@gmail.com; compoh1@hotmail.com; byolou@aol.com; aimee4001@yahoo.co.uk; flokadio@yahoo.com
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Compte tenu de la fete de Valentine du 14 Fevrier, les dates des elections et du depot de candidatures ont ete repoussees de deux semaines.
Lire l'invitation ci-dessous

Le club Awane informe les membres que les elections aux postes de la Presidence et de la Tresorerie se tiendront le 28 Fevrier 2015 a 99 Church St a Lowell a 18h. Les candidats peuvent contacter le comite d'organisation via e-mail ( mauguste@charter.net ) avant le 14 Fevrier 2015.

Article 19. Condition d'eligibilte

1. Etre un membre de droit actif dans les cotisations avant la date des elections.


2. Avoir ete membre de droits sur deux annees consecutives


3. Etre d'une moralite et d'une probite reconnues dans la communaute Bete dans son ensemble.


4. S'acquitter d'une caution de $250 non remboursable pour la Presidence, $150 pour les postes de la Tresorerie Generale.


5. Informer le comite d'organisation 15 jours avant la date des elections.


Priere de contacter le comite d'organisation ( via e-mail ) pour toutes vos questions .

Comite d'organisation

Mady Auguste
Marcelline Gnezere
Charles Zahui
Rose Aimee

Thursday, January 8, 2015

Ivory Coast

Abidjan ( Ivory Coast ):"Outrageous false conviction stories and show trials"
Political dissidents are arrested and tried with a veneer of legality where false criminal charges, manufactured evidence, and unfair trials are used to disguise the fact that the defendants are political prisoners. Opposition sympathizers are arrested ,charged with a crime even though they are innocent, and are given the choice, to confess and implicate the opposition leaders in order to get lower sentences.

Dr. Assoa Adou, along with two other prominent opposition figures, Lida Kouassi and Dogo Raphael were arrested in the past two months. According to sources close to the interior ministry, their arrests were linked to a confession of a suspect arrested in the town of Tabou, presented as the mastermind of the attacks against forces loyal to President Ouattara. The latter , according to the government, confessed he contacted these opposition leaders to destabilize Ouattara's regime, charges they vehemently denied.
Ouattara's regime often carries out these political motivated arrests and torture in order to intimidate the opposition. There is a sense in Ivory Coast that since Ouattara’s bloody seizure of power, license has been given to his interior ministry and army to silence any political dissent.
 Raymond Koffi, an Abidjan resident , says it well when he added "I think it would be better if all the accused were to be set free. They are political prisoners, they have to be released so that peace can return." 


Some political defendants are finally getting a trial after three years in custody. Most of these political prisoners were indicted on charges involving armed actions, crimes against humanity.
"Those who testified against the defendants are not able to say what  they did because they had not witnessed the acts that these accused would have posed. They are not witnesses because they unanimously saw nothing. For such an important trial, the government should not have manufactured witnesses" said Dadje Rodrigue, Counselor for the political prisoners.
 Raymond Koffi, an Abidjan resident , added "I think it would be better if all the accused were to be set free. They are political prisoners, they have to be released so that peace can return." 
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